jeudi 25 novembre 2010
mercredi 24 novembre 2010
vendredi 1 octobre 2010
oh la guitare, Souchon
Guitare oh la guitare en sa gorge est mon coeur enclos
Moi qui ne fus qu'un chien bâtard je n'ai vécu que de sanglots
Oh la guitare quand on aime et l'autre ne vous aime pas
Qu'on fasse taire le poème entendez-moi pleurer tout bas
Sur la guitare la guitare
Oh la guitare elle fait nuit mieux que la nuit
Les larmes sont mon seul nectar tout le reste n'est que du bruit
Oh la guitare pour le rêve oh la guitare pour l'oubli
Le verre à quoi la main le lève à l'âge où l'on dort dans les lits
Sans la guitare la guitare
Oh la guitare ma guitare il me la faut pour que je croie
A ce triste air à ce triste art qui m'aide à mieux porter ma croix
Oh la guitare du calvaire oh la guitare sans tes yeux
Brûlez ma voix brûlez mes vers oh la guitare d'être vieux
Guitare guitare guitare
Guitare oh la guitare en sa gorge est mon coeur enclos
Moi qui ne fus qu'un chien bâtard je n'ai vécu que de sanglots
Oh la guitare quand on aime et l'autre ne vous aime pas
Qu'on fasse taire le poème entendez-moi pleurer tout bas
Sur la guitare la guitare
=]
Moi qui ne fus qu'un chien bâtard je n'ai vécu que de sanglots
Oh la guitare quand on aime et l'autre ne vous aime pas
Qu'on fasse taire le poème entendez-moi pleurer tout bas
Sur la guitare la guitare
Oh la guitare elle fait nuit mieux que la nuit
Les larmes sont mon seul nectar tout le reste n'est que du bruit
Oh la guitare pour le rêve oh la guitare pour l'oubli
Le verre à quoi la main le lève à l'âge où l'on dort dans les lits
Sans la guitare la guitare
Oh la guitare ma guitare il me la faut pour que je croie
A ce triste air à ce triste art qui m'aide à mieux porter ma croix
Oh la guitare du calvaire oh la guitare sans tes yeux
Brûlez ma voix brûlez mes vers oh la guitare d'être vieux
Guitare guitare guitare
Guitare oh la guitare en sa gorge est mon coeur enclos
Moi qui ne fus qu'un chien bâtard je n'ai vécu que de sanglots
Oh la guitare quand on aime et l'autre ne vous aime pas
Qu'on fasse taire le poème entendez-moi pleurer tout bas
Sur la guitare la guitare
=]
la musique
La musique est l'art qui définit la vie, les émotions, qui arrive a mettre en son des choses inexplicables.
Avez vous déjà écouté du Chopin, ou toute autre musique, en observant les mouvements des gens, en regardant la vie ? c'est comme si toutes les choses de la Terre tournaient à l'unisson, que tout se mouvait en un bloc. Les émotions se déversent en vous comme un torrent lorsqu'un barrage cède. C'est une magie de tous les instants, un plaisir exquis à délecter du bout des tympans.
La musique se vit au fond du canapé comme dans une salle gorgée d'une atmosphère sentant la sueur. Elle se vit à fond, vous donne sourire, énergie, tristesse, allégresse, passion, haine.
Elle exprime tout. Le conflit, l'amour, la rage, la détresse, le soulagement, la discussion, l'honneur, le plaisir, mais surtout l'intensité du cœur.
vendredi 10 septembre 2010
come on baby light my fire (the doors, light my fire)
pic et pic et colle et gramme bour et bour et ratatam
et flip flap flop crac et bzz et vlan et vroum et tic tac toc plouf et wizz et badaboum
c'est la chanson des bruits et si le coeur vous en dit, chantons la toute la nuit...
vendredi 30 juillet 2010
dimanche 20 juin 2010
la nuit
samedi 19 juin 2010
bright star, Keats
Bright star, would I were steadfast as thou art —
Not in lone splendour hung aloft the night
And watching, with eternal lids apart,
Like Nature's patient, sleepless Eremite,
The moving waters at their priestlike task
Of pure ablution round earth's human shores,
Or gazing on the new soft-fallen mask
Of snow upon the mountains and the moors —
No — yet still stedfast, still unchangeable,
Pillow'd upon my fair love's ripening breast,
To feel for ever its soft fall and swell,
Awake for ever in a sweet unrest,
Still, still to hear her tender-taken breath,
And so live ever — or else swoon to death.
Not in lone splendour hung aloft the night
And watching, with eternal lids apart,
Like Nature's patient, sleepless Eremite,
The moving waters at their priestlike task
Of pure ablution round earth's human shores,
Or gazing on the new soft-fallen mask
Of snow upon the mountains and the moors —
No — yet still stedfast, still unchangeable,
Pillow'd upon my fair love's ripening breast,
To feel for ever its soft fall and swell,
Awake for ever in a sweet unrest,
Still, still to hear her tender-taken breath,
And so live ever — or else swoon to death.
[Brillante étoile ! Que ne suis-je comme toi immuable,
Non seul dans la splendeur tout en haut de la nuit,
Observant, paupières éternelles ouvertes,
De la nature patient ermite sans sommeil,
Les eaux mouvantes dans leur tâche rituelle,
Purifier les rivages de l’homme sur la terre,
Ou fixant le nouveau léger masque jeté
De la neige sur les montagnes et les landes-
Non-mais toujours immuable, toujours inchangé,
Reposant sur le beau sein mûri de mon amour,
Sentir toujours son lent soulèvement,
Toujours en éveil dans un trouble exquis,
Encore son souffle entendre, tendrement repris,
Et vivre ainsi toujours-ou défaillir dans la mort. ]
Non seul dans la splendeur tout en haut de la nuit,
Observant, paupières éternelles ouvertes,
De la nature patient ermite sans sommeil,
Les eaux mouvantes dans leur tâche rituelle,
Purifier les rivages de l’homme sur la terre,
Ou fixant le nouveau léger masque jeté
De la neige sur les montagnes et les landes-
Non-mais toujours immuable, toujours inchangé,
Reposant sur le beau sein mûri de mon amour,
Sentir toujours son lent soulèvement,
Toujours en éveil dans un trouble exquis,
Encore son souffle entendre, tendrement repris,
Et vivre ainsi toujours-ou défaillir dans la mort. ]
F*** Me I am a Spätzle
samedi 15 mai 2010
vendredi 14 mai 2010
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